Elysian Fields
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -50%
-50% sur les sacs à dos pour ordinateur ...
Voir le deal
19.99 €

Partagez
 

 Quand le passé vous rattrape [pv. Iris]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous


Quand le passé vous rattrape [pv. Iris] Empty
MessageSujet: Quand le passé vous rattrape [pv. Iris]   Quand le passé vous rattrape [pv. Iris] Icon_minitimeLun 3 Juil - 23:22

Quand le passé vous rattrape

Pv Iris Wolf
Je percutais un jeune homme de plein fouet. Nos épaules étaient brutalement entrées en contact, nous stoppant l'un l'autre dans notre avancée. Le choc fut tel que je manquais de lâcher mon téléphone.

- Pardon, m'excusais-je automatiquement.
- C'est pas grave, mais faites gaffe où vous allez, avait balancé le jeune asiatique avant de s'enfuir comme un voleur.

Lorsqu'il fila, une impression de déjà-vu m'envahit. Sans doute était-ce dû à son t-shirt Star Wars détendu, mais il s'agissait là d'un sentiment bien plus étrange. Une intuition de familiarité. Comme s'il me rappelait quelqu'un. Et pourtant il m'était impossible de mettre un visage sur ce ressentit.
Cette difficulté venait probablement de l'énervante arrogance du jeune homme. Mais comment les jeunes génération pouvaient s'étonner d'être mal aimé de leurs aînés si elles étaient représentées par des individus comme cet asiat' malpolis ? Voilà un point sur lequel je comprenais quelque peu l'amie de ma grand-mère. Et pourtant j'étais bien loin de tomber dans l'extrême qui avait emporté cette dernière, Gaëlle Dutronc. Car à l'inverse de cette vieille mégère antipathique, je n'étais pas du genre à faire d'un cas une généralité, croyez-moi sur parole. En outre quel mauvais professeur aurais-je été si jamais j'avais ainsi haït les moins de vingt-cinq ans.

- Jack ? Toujours là ?

Je repris mes esprits et rapprochait l'Iphone de mon oreille.

- Oui Gwen désolé. Tu disais ?

Mon ventre gargouilla. Voilà plus d'une demi-heure que ce dernier criait famine, provoquant chez moi une certaine gêne. Mais afin de le rassasir, il me fallait attendre Gwenaëlle Pomfresh, merveilleuse médecin, comme toujours trop occupée à sauver des vies à l'hôpital.

- Je vais être en retard.

Inattendu ? Non pas des moindres. C'était même tellement prévisible que j'en venais à me questionner sur l'utilité de ma ponctualité.

- Etonnant, rigolais-je.
- Je suis vraiment désolée Jack. Je fais au plus vite. Tu m'attends ?
- Entendu, soufflais-je presque amusé par la situation.
- Promis ?
- Promis.
- Tu es un amour. Ah un patient vient d'arriver. Je te laisse. A toute'.

Sur ce elle raccrocha, pour certainement disparaître dans le dédale de couloir que représentait l'hôpital.

Si j'avais accepté de l'attendre, mon ventre semblait lui moins enclin à patienter. Et les délicieuses effluves qui émanaient des restaurants de la rue n'aidaient en rien. Voir les plats servis en terrasse ne faisait que mettre en route la phase céphalique* de production d'acide de mon estomac. De ce fait j'avais encore plus faim que précédemment, et les gargouillis commençaient à se faire de plus en plus bruyants.

NE PAS MANGER.
NE. PAS. MANGER.

Scientifiquement prouvé par des médecins nutritionnistes, je n'étais pas sans savoir que souvent, la faim était étroitement liée à la déshydratation. En effet, boire pouvait occuper le tube digestif quelque temps de sorte que celui-ci ait autre chose en tête que de se nourrir. Mieux que cela, les alcools tels que la bière, chargés en levures, permettait de couper l'envie de manger. En effet, la digestion de ces derniers était bien plus complexe que ne l'était celle d'autres boissons. Aussi, basé sur ceci, je m'étais installé à la terrasse du Gastavo's Bar, et avait patienté quelques instants que l'on vienne prendre ma commande. Un bel homme d'origine latine était venu quelques instants après que j'eu posé mon casque de moto sur le siège voisin.

- Bonjour, vous désirez ?
- Une Guiness s'il vous plaît, avais-je commandé avec le sourire.

Immédiatement ma main alla se perdre dans la poche de ma veste. S'en était devenu perturbant. J'irai même jusqu'à dire qu'il s'agissait d'un toc. Mes doigts avaient effleuré le paquet de Winston qui siégeait là, à l'ombre, caché du monde. Puis naturellement, j'avais saisis une cigarette pour la placer sur mes lèvres. Puis dans un geste anodin j'avais allumé mon briquet et tiré sur la clope pour que celle-ci puisse prendre feu en son extrêmité. L'embout avait rougit, puis était devenu luisant, tandis qu'une ardente fumée avait pénétré mes poumons.
Alors, tel un lézard au soleil, je profitais du beau temps, assis à une terrasse et attendant patiemment que ma bière ne vienne à moi.




*Phase de production de suc digestif provoquée par l'ouïe, la vue, l'odorat et la pensée.


Codage par Libella sur Graphiorum
Revenir en haut Aller en bas
Iris Wolf
Iris Wolf

Age : 25 ans
Situation : Célibataire
Activité criminelle : être l'ex d'un gangster russe, ça compte ?
Autres comptes : En réflexion
Messages : 34
Date de naissance : 20/09/1992

Quand le passé vous rattrape [pv. Iris] Empty
MessageSujet: Re: Quand le passé vous rattrape [pv. Iris]   Quand le passé vous rattrape [pv. Iris] Icon_minitimeMar 4 Juil - 20:48


Quand le passé vous rattrape
Pv.Jack Jonhattan

« Cher journal,
Cette matinée a plutôt bien commencé à ElysianFields.
Cela fait quelques jours que je suis arrivé et je commence à me familiariser à nouveau avec les lieux.
Dans le cadre de mon métier il est mieux que je commence à ressentir et à vivre ce qu’il se passe dans cette ville. Je n’ai croisé que peu de personne que je connaissais à mon grand étonnement. A moins que je ne les ait pas reconnus. C’est probable.
BREF…
Résumons pour le moment le début de la journée.
vu que je ne sais pas si j’aurais l’envie d’écrire ce soir.

Ce matin je me suis réveillé tôt. Ce qui est très étonnant ne nous le cachons pas.
J’ai bu mon café puis suis allé courir.
Ensuite retour à l’appart, petite douche.
Maintenant je vais sortir un peu…
Je ne sais pas où je vais aller ni ce que je vais faire.
On verra bien où le vent me portera.
Aujourd’hui il fait beau. Ce serait triste de rester enfermée  Very Happy  !
Sur-ce, fin d’écriture pour aujourd’hui ! »

Je ferme vivement mon journal et me dirige vers ma chambre pour m’habiller. Avec la fâcheuse habitude de me balader en sous-vêtements chez moi, même si je me décide à sortir il y a toujours un long moment entre la prise de décision…et l’action.
Aujourd’hui je décide de rester classique. Je n’ai pas envie de me prendre la tête.
J’enfile donc mon slim, un débardeur blanc et bon pour garder un côté un poil sexy je met des escarpins.
Quand on est petite sa rehausse toujours et ça fait de jolies jambes…et puis on ne sait pas sur qui on peut tomber !!! Garder un petit côté mignon ou sexy ça peut être bien.

Je prends mon sac à main et je sors.

L’air chaud et le soleil sont agréables.
Il n’y a pas beaucoup de monde et c’est en prenant mon portable pour me mettre de la musique que je m’aperçois de l’heure.
Bon...certes il est ce que j’appelle « l’heure de manger » mais je n’ai pas vraiment faim.
A cet heure, il n’y a aussi pas un chat dans la rue…les gens prennent leurs pauses.
De mémoire il y a un bar pas loin… Va pour un verre!

Je prends donc la route en direction du bar.
En chemin je croise un mec qui cours comme un dingue. J’ai juste le temps d’éviter cet abrutis en manquant de me casser la figure…d’ailleurs sa tête me dit quelques choses. Mais pas quelques choses de bon. Oublions ça. Mon verre m’attends.

J’arrive enfin au Gustavo’s bar. Et là, sur la terrasse, je vois une tête dont je ne me rappelle que trop bien.
Assis, calmement, une cigarette à la main, c’est Jack, le meilleur ami de mon frère. Cela fait quelques temps que je ne l’ai pas vue… Du coup une grosse question se pose . Je vais le voir ou pas ?
Finalement, je slalome doucement entre les chaises et pose ma main sur son épaule avec mon sourire bien à moi.
-Jack ?!


HS: Premier rp sortis !! J'espère qu'il vous plaira Smile , je vais tester plusieurs formats pour voir dans lequel je suis le plus à l'aise. Plein de bisous!

Codage par Libella sur Graphiorum
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


Quand le passé vous rattrape [pv. Iris] Empty
MessageSujet: Re: Quand le passé vous rattrape [pv. Iris]   Quand le passé vous rattrape [pv. Iris] Icon_minitimeLun 17 Juil - 12:25

Quand le passé vous rattrape

Pv Iris Wolf
A l'instant où mes pieds avaient foulés le parquet de la demeure Wolf, une pluie torrentielle s'était abattu sur l'Idaho. Le ciel sombre, chargé de nuages noirs ne faisait qu'accentuer l'ambiance morbide qui régnait entre les murs de cette imposante bâtisse centenaire. Au dehors, le vent faisait balancer les arbres les plus fins et vibrer les bosquets qui jalonnaient l'avant de la maison. Tout semblait s'être accordé pour faire de ce jour le plus triste de l'année.

De ci et de là s'étaient éparpillés des convives en tenue de deuil, le visage voilé d'une mélancolie propice à la situation. Réunis en petit groupes, ils parlaient avec modération, leurs mots futiles envenimant l'air tels des chuchotements médisants.
Sur mon passage, le miroir de l'entrée refléta un visage fatigué et usé. Encore égratigné en de multiples endroits, il était parsemé d'entailles rougeâtres et de quelques bleus estompés. Au fond, jamais je ne pouvais oublié ma trop récente sortie de l'hôpital. Avec l'aide précieuse de mes sœurs j'avais tenté de camoufler ce massacre dans l'espoir de faire bonne figure, mais rien n'y faisait, mes traits transparaissaient encore du désespoir qui m'accablait.

Le corps était exposé dans le salon, tel un objet de décoration, face à des rangées de chaises destinés aux invités. Collée au cercueil, madame Wolf pleurait à chaudes larmes, plus bruyante que nécessaire, entourée d'un nombre conséquent de convives alarmés par sa détresse. Et bien qu'aujourd'hui aurait dû être un jour uniquement consacré à Willy, c'était elle qui une fois de plus attirait l'attention. Et pourtant, il ne manquait rien au lit mortuaire de mon ami. Il était beau, fait de bois sombre, brillamment verni et entouré de fleurs blanches au parfum envoutant.

Lorsque je pénétrais le salon, le bras emmitouflé et fixé par le plâtre, les conversations cessèrent. Des yeux accusateurs se portèrent sur ma personne, bien vite accompagnés de chuchotements certainement chargés en rumeurs non fondées. Mais si d'ordinaire je ne me serais pas laissé affecté par ce genre de détail, mon état actuel entraina irrémédiablement des palpitations saugrenues dans ma poitrine. Les doigts qui dépassaient de mon écharpe médicale vibrèrent, tandis que je serrais la mâchoire pour ne pas défaillir.

Fort heureusement, monsieur Wolf, aussi serein et empathique que d'ordinaire, vint me saluer aimablement, brisant la tension qui s'était installée dans la pièce. Par la suite il me sembla que mon cœur se fut stabilisé, mais à la vue du corps inerte de mon ami, c'est à peine si j'eu la force de retenir mon repas du midi, qui tentait habilement de refaire surface. M'extirpant de cette pièce trop étouffante, j'étais sortis au niveau de la véranda, isolée du reste de la population pour prendre l'air, ma main encore valide appuyée contre les vitres trempées par la pluie. Prenant de grandes respirations, je sentais une transpiration indélicate humidifier mon costard. Et bientôt une goutte de sueur perla sur ma tempe.

Je devais me calmer.


Une main se posa sur mon épaule.

Surpris, je manquais de lâcher ma cigarette, et la rattrapais au vol, de la manière la plus ridicule qui soit. Dieu merci je ne l'avais pas laisser s'échapper, ou cette dernière serait venue enflammer les serviettes grises du bar.

- Jack ?

Je ne l'avais pas vu arriver tant j'étais occupé par mes pensées. A la vue de la jeune femme j'avais souris naturellement. Et pourtant elle ne faisait que me rappeler d'atroces souvenirs que j'avais fuit en m'installant ici. Aujourd'hui la demeure des Wolf appartenait à de riches propriétaires inconnus, et seule la tombe de mon ami avait le pouvoir de me faire revenir dans le passé.
Jusqu'ici j'étais persuadé qu'aucun membre de sa famille ne serait revenu sur ces terres pluvieuses, mais il semblerait que dans ma fuite de la Grande Pomme, un détail m'ait fait défaut. C'est en tout cas ce qu'il me sembla lorsqu'elle était arrivée devant moi, toujours aussi radieuse, alors que jamais un Wolf ne m'avait reparlé depuis l'enterrement de Willy, trois ans auparavant.

- Iris ! M'exclamais-je surpris et souriant. Mais que fais-tu là ? Je t'en pries joins toi à moi. Tu veux quelque chose à boire ?


Codage par Libella sur Graphiorum
Revenir en haut Aller en bas
Iris Wolf
Iris Wolf

Age : 25 ans
Situation : Célibataire
Activité criminelle : être l'ex d'un gangster russe, ça compte ?
Autres comptes : En réflexion
Messages : 34
Date de naissance : 20/09/1992

Quand le passé vous rattrape [pv. Iris] Empty
MessageSujet: Re: Quand le passé vous rattrape [pv. Iris]   Quand le passé vous rattrape [pv. Iris] Icon_minitimeMar 18 Juil - 21:04


Quand le passé vous rattrape
Pv Jack Johnattan

Je ne l'avais pas vu depuis trois ans déjà. J'aurai apprécié que notre rencontre de la dernière fois se soit déroulée dans d'autres circonstances.
C'était le jour de l'inhumation de mon frère, alors que son corps était encore exposé dans notre maison familiale avant le départ pour l'église.

Ce n'était vraiment pas une bonne journée.
Ma mère était venue se jeter sur le cercueil entrouvert de mon frère en pleurant faussement et en criant de douleurs plus que nécessaire. Ce qui me mit d'humeur massacrante, sachant que quelques années auparavant elle avait hurlé à Will qu'il n'était qu'un individu inutile et vide de sens qui ne méritait pas d'existait.
Après  cela elle n'est plus jamais venue le voir.

Cette femme a beau être ma mère elle n'en reste pas moi une garce qui aime se donner en spectacle.

A son arrivée j'étais donc montée à ma chambre pour me calmer afin d'éviter de l'étrangler devant tous les convives.

Quelques minutes plus tard mon père est monté me voir. Il était éreinté. Entre la perte de son fils, notre Will, toutes les démarches pour les obsèques et maintenant en prime son ex-femme qui rapplique, il était au bord de l'épuisement tant physique que psychologique.

Il me prit dans ses bras et m'annonça que Jack venait d'arriver.

Nous avions tout à coup entendus retentir les cris de ma mère. Ce qui me fit accourir au bas de la maison.

Qu'elle revienne pour l'enterrement de son fils après tout ce qu'elle nous a fait subir restait son droit.

Will restait son fils.

Qu'elle se donne en spectacle comme à son habitude passe encore. Mais qu'elle veuille faire un scandale près de sa dépouille.

C'était hors de question!

Malgré mes chaussures à talon et ma fatigue, j'ai descendus les escaliers en trombe et j'ai couru vers les crissements de sa voix qui m'était devenu insupportable.

Je la vis à l'entrée de la véranda, face à Jack en train de l'insulter et de le porter responsable de la mort de Will et ça…c'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Jack, n'était pas responsable.

C'était un accident.

J'ai perdu mon frère qui était très cher à mon cœur, mais je considère aussi Jack comme un frère. Tout comme Will le considérait comme un frère.
Elle ne le salira pas. Ni maintenant, ni jamais.

Je la poussais d'abord en lui disant de la fermer et lui balançait tout ce que j'avais sur le cœur.

J'ai ensuite repris ensuite mon calme pour le demander de partir. Mais elle voulut reprendre son cirque.

A ce moment je n'ai moi-même pas compris comment, mais je l'ai attrapé et l'ai jeté dehors.

Je suis ensuite retournée voir Jack à l'intérieur.
Je l'ai pris dans mes bras et me suis mise à pleurer la seule chose que j'ai pu lui dire ce jour-là fut : "je suis désolée…"

.....

Aujourd'hui c'est un jour différent.

Aujourd'hui je peux lui sourire. Il me semble que je l'ai surpris. Il me montre un grand sourire. Heureusement il m'a reconnu.

J'ai quelques peu changée en trois ans.
- Iris ! s'exclama-t-il. Mais que fais-tu là ? Je t'en pries joins toi à moi. Tu veux quelque chose à boire ?
- Ça me fait plaisir de te revoir ! m'exclamai-je moi aussi. Tu attends quelqu'un ?

Je m'assieds sur l'autre chaise à sa table et j'interpelle le serveur pour lui demander un mojito.
-J'ai dû revenir pour le travail, mais vu que je ne prends pas tout de suite je me balade et me familiarise à nouveau avec la ville. Et toi comment tu vas ? Qu'est-ce que tu deviens ?

Codage par Libella sur Graphiorum
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



Quand le passé vous rattrape [pv. Iris] Empty
MessageSujet: Re: Quand le passé vous rattrape [pv. Iris]   Quand le passé vous rattrape [pv. Iris] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Quand le passé vous rattrape [pv. Iris]
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Ce qu'il se passe quand on s'endort au mauvais endroit... [Pv: Felix Ahn]
» //Inachevé// De l'autre côté de la rive... [ft. Iris Wolf]
» Jamais deux sans trois - Part.2 ∞ Iris
» Confrontation. Du passé ou de moi? Je ne sais pas.
» (M) Quand personne ne sait rien - Paul

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Elysian Fields :: Les oubliettes :: Archives :: Elysian Fields V.1 :: Contexte 1 // 2016-Nov 2017-
Sauter vers: